L’équipe

Taille du texte > Agrandir | Réduire




Présentation de l’équipe

Les salariés au refuge :

Depuis de très longues années les animaliers étaient toujours embauchés, au départ, en contrat aidé par l’état, c’est-à-dire qu’une partie de leur salaire nous était remboursée. La formation est faite « sur le tas » ; il s’agit d’une formation interne accélérée. Au bout d’un an, nous demandons à l’animalier de passer l’examen du certificat de capacité. Tous les animaliers que nous avons recrutés depuis la création du certificat de capacité l’ont obtenu très facilement, car ils sont à bonne école. Un an de formation encore, et nous les présentons à l’examen de technicien de capture, s’il est prévu de les intégrer à l’équipe chargée du service de capture et ramassage des animaux errants. Pour ce qui concerne cet examen aussi, nous n’avons, à ce jour, comptabilisé aucun échec. Les dernières dispositions gouvernementales nous ont supprimé la possibilité d’obtenir des contrats aidés, ce qui est cause pour nous de graves difficultés financières, puisqu’il nous faut financer entièrement les salaires de nos animaliers en formation. Cela nous semble d’autant plus injuste que la raison invoquée pour justifier la suppression des contrats aidés est qu’ils sont remplacés par des actions de formation des jeunes. Or, c’est exactement ce que nous faisions, en mieux peut-être, puisque les jeunes arrivés chez nous sans diplôme ni formation en repartaient avec un diplôme (ou deux) leur permettant de postuler à un emploi. De plus, la formation que nous dispensions avait le mérite d’être gratuite, alors que l’état devra payer des formateurs, et que les formations entreprises ne déboucheront pas forcément sur un diplôme permettant l’accès à l’emploi. Nous continuons évidemment à procéder comme nous l’avons toujours fait, et trois jeunes préparent actuellement au refuge leur certificat de capacité tandis que trois autres, qui viennent de l’obtenir, commencent à travailler en vue de l’obtention de leur certificat de technicien de capture.

Claude

 

D’anciens salariés devenus bénévoles :

Ils ont travaillé de longues années au refuge. Ils ont pris leur retraite… Et ils sont restés!

Danièle, Claude, Agnès

DSC04438

Claude
Il possède un certificat de capacité n° 21-CC-AC-060, un certificat de capacité d’éducation canine, la qualification de maître chien, un brevet de maître chien forestier; il est aussi moniteur de prévention incendies, secouriste animalier. De plus c’est aussi un excellent bricoleur.

Agnès, depuis qu’elle a pris sa retraite, continue de gérer seule, au secrétariat et bénévolement, toutes les stérilisations-identifications de chats errants, avec l’efficacité et le doigté qu’on lui connaît.

Ancienne animalière, Danièle est très souvent présente au refuge. Tous les jeudis matin, c’est elle qui consigne les prescriptions et recommandations du vétérinaire lors de la visite. c’est elle aussi qui va chercher partout en France et même à l’étranger les animaux encore identifiés au nom du refuge et que leurs adoptants ont perdu pendant leurs vacances.

Les bénévoles au refuge :

Ceux qui assurent les promenades des chiens, leurs sorties dans les cours, les caresses et le toilettage des chats, la surveillance des N.A.C, la tenue des stands lors des journées « portes ouvertes » sont nombreux et il ne m’est pas possible de les citer tous ici. Parmi eux certains ont un rôle particulier : Stéphanie Pitoiset instruit les nouveaux bénévoles, Marie Camus, Elvire Peutat, Annick Lasne se chargent des visites de courtoisie des animaux adoptés. Jean-Luc Soléansky effectue les enquêtes pour maltraitance. Gilbert Pernin rééduque les gros chiens qui tirent trop sur la laisse et sociabilise certains chiens nouvellement arrivés. Geneviève Morice détient le record de longévité en tant que bénévole chargée des sorties des chiens dans les cours.  Ceux dont je ne mentionne pas le nom voudront bien ne pas en prendre ombrage et me pardonner.

Les bénévoles hors locaux de l’association :

Jean-Claude Jeannin, ancien vice-président, nous apporte chaque année, au moment des demandes de subventions, une aide précieuse.

Maître Sandrine Anne représente notre association auprès de la justice, plaide les affaires de maltraitance, assure un rôle de conseil indispensable.

Des bénévoles « piègent » un peu partout, les chats non apprivoisés que nous faisons stériliser, tatouer et qui sont remis sur leur lieu de vie et nourris par leur protecteur.

Enfin, les membres du Conseil d’administration s’acquittent avec le plus grand sérieux de leur mission de réflexion, de conseil et de décision. Ils sont issus de tous les horizons professionnels susceptibles de concerner notre association (vétérinaire, notaire, avocat etc …).

Retour en haut