Fourrière

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Retrouvez ici la liste des animaux trouvés non réclamés.

Fourrière

Présentation

Notre association s’est vue attribuer le marché public de d’accueil, de capture, de ramassage et de transport des animaux errants sur le domaine public de la ville de Dijon le 1er janvier 2012.

Peu de temps après, nous avons été contactés par différentes communes de l’agglomération dijonnaise, qui venaient d’être informées par l’association qui était en charge de leur service de capture et fourrière que celle-ci, ayant perdu le marché de Dijon, cessait d’effectuer leur service de capture.

Très surpris mais comprenant la situation difficile dans laquelle se trouvaient ces communes, nous avons accepté de nous substituer à l’association qui se désistait, et nous assumons donc désormais, et ce depuis le 1er avril 2012 ou un peu plus tard en ce qui concerne certaines communes, le service de capture des animaux errants, blessés ou non, divaguant sur le domaine public des villes de Bretenière, Chenôve, Chevigny-Saint-Sauveur, Crimolois, Daix, Fontaine-les-Dijon, Longvic, Marsannay-la-Côte, Neuilly-les-Dijon, Plombières-les-Dijon, Quetigny, Saint-Apollinaire, Sennecey-les-Dijon, Talant. Nous assurons ce service  exclusivement sur appel des polices municipales, des pompiers, de la police nationale, de la gendarmerie ou des mairies.

Les choses se passent le mieux du monde, grâce à une bonne organisation et à la détermination sans faille de l’équipe « fourrière ». Cette équipe est essentiellement constituée de 5 animaliers très motivés, qui adorent les animaux et la mission qui leur est confiée. Ils ont la compétence maximum dans ce domaine, puisqu’ils ont, en plus de leur certificat de capacité, qui atteste de l’aptitude à exercer des activités liées aux animaux de compagnie (comme tous les employés de notre association, secrétaire et gardienne comprises, qu’ils soient en CDI ou en CDD, et comme 15 de nos bénévoles), leur diplôme de technicien de capture des animaux errants. Ils sont jeunes, il est vrai, mais depuis Corneille on sait qu’ « aux âmes bien nées la valeur n’attend pas le nombre des années » !

Que faut-il faire si on a perdu son animal à Dijon ?

Prévenir obligatoirement et le plus rapidement possible la Société pour la Défense des Animaux de Bourgogne et Franche-Comté, qui assure le service de fourrière de la Ville de Dijon depuis le 1er janvier 2012.

  • Soit en téléphonant au refuge des Cailloux 5 rue Django Reinhardt à Dijon (ouvert de 14 heures à 18 heures, du 16 février au 14 novembre et de 14 heures à 17 heures du 15 novembre au 15 février, sauf jeudi, dimanche et jours fériés) tél 03 80 66 30 17
  • Soit en écrivant à : S.D.A., 5 rue Django Reinhardt 21000 Dijon. (joindre une photo peut s’avérer utile), même si l’animal est tatoué ou muni d’un transpondeur (puce), car le tatouage peut être devenu peu lisible et le transpondeur peut être défectueux. Il est possible aussi que vous ayez changé d’adresse ou de numéro de téléphone sans faire la démarche nécessaire auprès du fichier félin ou de la société centrale canine, auquel cas l’identification de votre animal ne permet pas de vous retrouver.

A savoir : si votre animal n’est pas identifié, il ne vous sera rendu qu’après tatouage, l’identification étant obligatoire.

Erreur fréquente à éviter absolument : se dire que signaler la disparition d’un chat est inutile, parce que probablement le chat a fait une escapade et va forcément revenir tout seul, et que s’il ne revient pas c’est que quelqu’un se l’est approprié ou qu’il est mort. Or il arrive souvent que des personnes, croyant bien faire, « prélèvent » dans leur jardin ou dans la rue, en le croyant perdu, un chat qui n’est ni blessé ni affamé et qui fait simplement un petit tour dans le quartier, pour l’apporter au refuge : dans ce cas, le chat ne reviendra pas tout seul… Il ne reviendra pas non plus de lui-même s’il a été accidenté et donc pris en charge par l’association.

D’autres démarches peuvent être très utiles : faire soi-même des recherches dans le quartier, déposer des affichettes chez les commerçants, prévenir le commissariat et le vétérinaire du quartier, ou encore la S.P.A. Les Amis des bêtes à Messigny et Vantoux, avec laquelle nous n’avons pas de lien.

A savoir : Ne pas croire qu’un seul coup de téléphone suffit à prévenir tout le monde. Il n’y a pas, à l’heure actuelle, de possibilité de mise en commun des informations recueillies par les uns ou par les autres.

Voici la voiture avec laquelle nos animalières vont chercher dans les rues de Dijon les animaux blessés, perdus, fugueurs ou victimes d’un abandon sauvage, exclusivement sur appel de certains services. Le logo a été dessiné pour notre association par un adhérent, Jean-François Devalière, architecte en chef honoraire de la ville de Dijon.

voiture de la fourrière

Cette Kangoo est réservée à l’équipe fourrière.

Que faut-il faire si on a perdu son animal à Bretenière, Chenôve, Chevigny-Saint-Sauveur, Crimolois, Daix, Fontaine-les-Dijon, Longvic, Marsannay-la-Côte, Neuilly-les-Dijon, Plombières-les-Dijon, Quetigny, Saint-Apollinaire, Sennecey-les-Dijon, Talant ?

Prévenir obligatoirement et le plus rapidement possible notre refuge.

Précautions à prendre absolument pour avoir toutes les chances de retrouver son animal en cas de fugue, de perte, d’accident :

Le faire identifier au plus vite par son vétérinaire. Par expérience, la S.D.A. conseille le tatouage, qui se voit et attire donc l’attention des particuliers, qui pourraient croire, en cas d’identification par transpondeur, que l’animal qu’ils viennent de trouver n’est pas identifié et n’appartient plus à personne. Si on n’a pas l’intention de quitter la France avec son animal, le tatouage est suffisant. Si on a l’intention de voyager en Europe avec son animal, ou si on veut prendre le maximum de précautions, il faut impérativement ajouter le transpondeur au tatouage, ce qui est légalement admis et techniquement possible.

Que faut-il faire si on trouve à Dijon un animal manifestement « perdu » ?

Le déposer au refuge des Cailloux, à Dijon, aux jours et heures d’ouverture (voir plus haut).

En cas d’empêchement et en dehors de ces jours et heures, téléphoner à la police municipale ou à la police nationale ou à la gendarmerie ou aux pompiers.

Que faut-il faire si on trouve à Talant, Bretenière, Chenôve, Chevigny-Saint-Sauveur, Crimolois, Daix, Fontaine-les-Dijon, Longvic, Marsannay-la-Côte, Neuilly-les-Dijon, Plombières-les-Dijon, Quetigny, Saint-Apollinaire, Sennecey-les-Dijon, Talant, un animal manifestement « perdu » ?

Téléphoner à la police municipale de la commune en question, ou aux pompiers, ou à la police nationale ou au secrétariat de la mairie.

Information à l’attention des municipalités : conventions d’accueil des animaux errants.

Notre association, qui n’a qu’un seul refuge, situé à Dijon, est habilitée à passer avec les municipalités des conventions d’accueil des animaux errants (chiens et chats). Elle fait partie d’un groupement d’associations, le Rassemblement des associations de protection animale ne pratiquant pas l’euthanasie libératoire (R.A.P.A.P.P.E.L. Maison des Associations, 2 rue des Corroyeurs Boîte AA7 – 21068 Dijon cedex) et collabore, le cas échéant, pour parfaire sa mission d’accueil et pour qu’aucun animal (en particulier les chats errants non apprivoisés) ne soit exclu du service apporté aux municipalités, avec les autres associations faisant partie du R.A.P.A.P.P.E.L, qui sont :

« Charlotte et les autres… » Maison des associations, 2 rue des Corroyeurs Boîte AA6 – 21068 cedex Dijon (site internet : www.charlotte-et-les-autres.com)

Le Chat Libre Dijonnais : Maison des associations, 2 rue des Corroyeurs Boîte AA6- 21068 cedex Dijon

Note à l’attention des particuliers.

Un chien doit être avec son maître (en laisse ou sous sa surveillance) lorsqu’il se trouve sur le domaine public. Mais ce n’est pas la même chose pour les chats, qui peuvent légalement se promener dans la ville ou le village. Aussi faut-il se garder de signaler comme « chat errant » un chat qui est en bonne santé et ne semble pas en détresse. Il arrive trop souvent que, pensant bien faire, certaines personnes se saisissent d’un chat qui se prélasse dans un jardin, un square ou sur un trottoir, et l’apportent au refuge ou le signalent à la police. S’il n’est pas identifié et si le maître ne pense pas à venir au refuge, le chat ne retrouvera jamais sa maison et devra attendre très longtemps avant d’être adopté. Aussi convient-il de bien réfléchir et d’estimer la situation avant d’agir.

Retrouvez la liste des animaux trouvés non réclamés.

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